Table ronde, jeudi 20 Octobre 2022 à la Faculté de Droit de l’Université de Poitiers
A l’autonome 2021, le Président de la république annonçait le lancement de « l’année de la gastronomie ». L’art français de « faire bonne chère », patrimoine immatériel de l’humanité, se situe à la croisée des enjeux sanitaires, économiques, sociaux, environnementaux et culturels mis en lumière par la crise sanitaire. Le souci de la qualité et de la durabilité des systèmes alimentaires implique de repenser les rapports qu’entretiennent les différents acteurs de la filière de la restauration. Les « chefs » sont plus que jamais incités à s’engager vers une cuisine soucieuse de son impact social et environnemental.
Agriculture et gastronomie sont évidemment intriquées : il n’y a pas de cuisine sans produits de la terre ou de l’élevage. Mais ce lien est appelé à évoluer. Quelle place pour les produits locaux et de qualité dans l’offre de restauration ? A quel prix ? Quels partenariats avec les producteurs ?
Table ronde animée par Raphaèle-Jeanne AUBIN-BROUTE, Maître de conférences en droit privé, Codirectrice du Master 2 droit de l’activité agricole et de l’espace rural.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur la page dédiée.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Christelle Boisbineuf (18 octobre 2022). Gastronomie et agriculture ». Montaigne@table. Consulté le 4 octobre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/rmh2